Entretiens – Médias
« La fraternité est l’un des gisements d’énergie durable du XXIe siècle » (La Croix, 9 juillet 2018)
« Le philosophe, auteur d’un « Plaidoyer pour la fraternité » (Albin Michel, 2015), réagit à la décision de la Conseil d’Etat, qui a en partie censuré, vendredi 6 juillet, le « délit de solidarité » au nom du principe de fraternité.
« Le revenu universel est une utopie réaliste » (Libération, 9 juillet 2018)
« Cette mesure de justice sociale et de redistribution des richesses pourrait aussi, pour le philosophe, remettre du collectif et de la spiritualité au cœur de la société. Un de ses derniers ouvrages les Tisserands (éd. Les liens qui libèrent, LLL) mettait en lumière des citoyens tentant, à leur échelle, de recréer du lien entre les individus dans notre société en crise. Dans son nouvel essai Libérons-nous ! Des chaînes du travail et de la consommation (éd. LLL), Abdennour Bidar aborde un sujet sur lequel on ne l’attendait pas forcément, lui, le philosophe membre de l’Observatoire de la laïcité plus connu pour ses travaux sur l’islam, la sécularisation ou encore la fraternité : le revenu universel.
« L’athéisme, faut-il encore y croire ? » (« La Grande Table », France Culture, 25 juin 2018)
Pour vivre heureux, vivons athées ? A l’heure du retour du religieux, la question de l’athéisme se (re)pose. Pour en parler, Abdennour Bidar, auteur en 2012 de « Comment sortir de la religion ».
« L’écologie est un chemin de spiritualité possible. Le retour de la relation avec la nature, c’est le retour à la contemplation du monde, l’étonnement et l’émerveillement de l’homme face à une matrice fabuleuse. »
Abdennour Bidar
« Libérons-nous : le revenu universel n’a pas dit son dernier mot » (Matthieu Aron, L’Obs, 14 juin 2018)
« Dans « Libérons-nous », le philosophe Abdennour Bidar défend cette mesure. L’unique moyen, selon lui, de sortir de « l’esclavage du capitalisme ». Explications.Quelle mouche a piqué Abdennour Bidar ? s’est-on demandé en ouvrant son dernier essai. Le philosophe, chroniqueur à « l’Obs », y défend une utopie que l’on croyait enterrée pour un bon bout de temps. Le revenu universel ! L’idée semblait ne pas avoir résisté aux sarcasmes de ses détracteurs lors de la dernière campagne présidentielle. Abdennour Bidar la ressort pourtant, avec un enthousiasme communicatif, sinon convaincant.
Abdennour Bidar sur France Inter (« Par Jupiter », France Inter, 8 juin 2018)
Charline & Alex reçoivent le philosophe et essayiste Abdennour Bidar à l’occasion de la parution de « Libérons-nous! Des chaînes du travail et de la consommation » aux éditions Les liens qui libèrent.
Interview Abdennour Bidar sur son dernier livre « Libérons-nous ! » (Radio Nova, 29 mai 2018)
Entretien avec Abdennour Bidar sur son nouveau livre « Libérons-nous ! » (Les Inrockuptibles, 16 mai 2018)
« Et si l’idée de travailler pour vivre était déjà archaïque. Promoteur du revenu universel, le philosophe Abdennour Bidar croit à l’avènement prochain d’une société libérée de ses corvées, qui pourrait se consacrer à la plus noble des activités humaines… »
« Un jour tous libérés du travail ? » (« Pensez donc », France Inter, 13 mai 2018)
« Il nous faut nous libérer de la double chaîne du travail et de la consommation qui nous étrangle selon le philosophe Abdennour Bidar. Comment et que serait une vie sans travail ? Imaginez… si vous n’aviez plus à travailler et à attendre le week-end pour faire ce que vous voulez, si vous pouviez disposer de tout votre temps, que feriez-vous de ce temps libéré ? Vous vautrer dans le canapé à regarder des séries, faire du sport, de la musique ? Pas sûr que cela suffise à remplir une vie…Comment se construire personnellement et faire société ensemble mais sans le travail ? Le philosophe Abdennour Bidar explore les pistes d’une vie sans travail, d’une liberté nouvelle qui donne le vertige ! »
« Le revenu universel nous confronte à notre propre liberté » (Marianne, 11 mai 2018)
« Le philosophe, plutôt spécialisé dans les questions de religion et de laïcité, dessine une ébauche de ce que serait une société libérée du travail contraint. Il refuse le terme « d’utopie ». Pour lui, c’est le sens de l’histoire. »