« Je lis dans le livre de Didier Leschi Misère(s) de l’islam de France ce reproche à « l’intellectuel musulman » : « A l’instar d’un Georges Bernanos qui allait à la messe, se confessait et communiait, nous aimerions que ledit intellectuel musulman se rende à la mosquée, qu’il relate dans un magazine le choc spirituel que lui aurait causé son pèlerinage à La Mecque et qu’il publie, dans un même élan, un libelle intitulé Les Grands Cimetières sous les dunes qui, partant d’une lecture généreuse du Coran, ferait date dans la critique de ces sociétés qui renvoient la majeure partie de l’humanité au sort peu enviable de mécréants. »