« Face à la haine, la terreur, la colère, le soupçon : faire un pas vers l’autre, fraterniser. Dépassant rivalités, tensions, jalousies, être capable de se lier d’amitié, vraiment, sincèrement. Contre la cruauté et le sadisme des conflits, éprouver de la compassion à l’égard de ceux qui souffrent. Dépassant la rigidité, la froideur, l’insensibilité, agir avec bonté, échappant de la cuirasse narcissique où nous avons la tentation de nous enfermer, décider de prendre soin, un soin de notre propre esprit perturbé et un soin des autres, dans le bonheur ou dans le malheur… »