« Monsieur Macron, vous êtes probablement notre prochain président de la République. Je vous invite à exercer cette responsabilité suprême en vous rappelant constamment – comme cap majeur de votre action – ce qui a essayé de nous rassembler tous depuis les terribles attentats de janvier 2015 : le désir de fraternité. Le désir de « relire notre devise républicaine de droite à gauche », en commençant par une fraternité qui seule peut faire du désir de liberté et d’égalité autre chose qu’une revendication égoïste pour « ma » liberté ou l’égalité de « mes » droits ou de ceux de « ma » communauté… »